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bienvenue sur mon blog accueil a propos bonjour à vous. archives: choisir un mois octobre 2009 catégories morale d'histoire pensée positif meta inscription connexion liens créer un blog unblog.fr 14 oct 2009 les périodes de crises. posté dans morale d'histoire par infoglobal à 12:14 | pas de réponses » un fiston négatif dit un jour à son vieux père qui tenait un petit stand de hamburgers en bas des bureaux : « comment va ton business, papa ? » « très bien, pourquoi ? » « tu sais, la crise est bien installée, merrill lynch a un trou de plusieurs milliards, les actions baissent, on licencie à tour de bras… ça va mal. » « et bien moi, je vends bien mes hamburgers. » quelques jours plus tard: « alors papa, ca va toujours bien? » « oui pourquoi ? » « ici c’est de pire en pire, tu devrais faire attention, tu vas bientôt être touché, la crise est là et pour de bon. essaye de faire des économies pour tenir pendant les périodes de vaches maigres. tiens, rogne un peu sur la viande que tu mets dans tes hamburgers, par exemple » « tu as peut-être raison, je vais y penser. » le vieux vendeur décide de suivre les conseils de son fils et rogne un peu sur la viande qu’il met dans ses hamburgers. quelques semaines plus tard. « alors comment va ton business, papa? » « tu avais raison, j’ai noté une petite baisse dans mes ventes. » « ah mais là papa, tu n’imagines pas ce qui nous attends, ça va être comme la crise de 29, c’est l’horreur totale. si tu ne t’adaptes pas, tu es fini. essaye d’économiser un peu plus » le père enlève encore de la viande, rogne sur le pain, pour « s’adapter » à la crise. quelques semaines plus tard: « alors, papa tu en est où? » « ah fiston, tu avais raison ! la crise m’a frappé moi aussi. je vends à peine la moitié de ce que je vendais avant. » « tu devrais économiser plus » ainsi fut fait, et le marchand de hamburgers cessa son activité faute de clients. il s’était laissé contaminer par son fils et ses clients étaient partis ailleurs parce qu’il mettait moins de viande, moins de pain, moins de tout… la moralité de cette histoire, c’est que dans les périodes de crises, quand tout va mal, la majorité des gens réagissent comme ce vieux vendeur : ils baissent les bras ! et pourtant, ceux qui tiennent bon, ceux qui ne s’avouent pas vaincus tout de suite, ceux qui savent garder un esprit positif et gagnant récoltent toujours plus que dans les périodes « normales » ! car c’est pendant les périodes de crise que se présentent les plus grandes opportunités de réussite… si on sait comment gagner ! imaginez le vendeur de hamburger qui a récupéré tous les clients de ce vieux vendeur perdant ? est-ce la crise pour lui ? est-ce qu’il s’est laissé « démonter le moral » par un oiseau de mauvaise augure ? bien sûr que non ! il a pris le taureau par les cornes, a embauché de nouveaux employés, et a vu son chiffre d’affaire doubler en peu de temps ! 12 oct 2009 abondance posté dans pensée positif par infoglobal à 4:41 | pas de réponses » ce grand pouvoir, le pouvoir de choisir, me procurera l’espoir nécessaire, l’état d’esprit nécessaire, le courage nécessaire pour obtenir de la vie toutes les choses que je veux vraiment. je crois à l’abondance, je désire l’abondance, je reçois l’abondance. je laisse libre passage à cette abondance infinie à travers mes canaux et ceux de tous ceux qui m’écoutent tout comme j’abandonne librement l’argent que je tiens dans ma main, le donnant là où il fera le plus de bien. je suis reconnaissant et je me réjouis d’une vie pleine d’abondance. je vis une vie riche et abondante sur les plans physique, spirituel et autres. l’univers est une corne d’abondance, chacun peut y puiser. je suis abondance par nature même, désormais je l’accepte. abondance, voilà ce que je suis vraiment. désormais je l’accepte pleinement et dans la joie. l’univers est pure abondance ! 12 oct 2009 la morale d’un porteur d’eau indien. posté dans morale d'histoire par infoglobal à 3:51 | pas de réponses » un porteur d’eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. l’une des jarres avait un éclat, et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages. bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. au bout de 2 ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. « je me sens coupable, et je te prie de m’excuser. » « pourquoi ? » demanda le porteur d’eau. « de quoi as-tu honte ? » « je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l’eau. par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau. tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts », lui dit la jarre abîmée. le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: « pemndant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin ». au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau. le porteur d’eau dit à la jarre « t’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? c’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti. j’ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. pendant 2 ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. sans toi, jamais je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. » morale de l’histoire: nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. nous sommes tous des jarres abîmées. certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent pas par leur intelligence, d’autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d’autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. il vaut mieux prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il y a de bien et de bon en eux. il y a beaucoup de positif partout. il y a beaucoup de bon en vous, annjo! ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. souvenez-vous d’apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! sans eux, la vie serait bien triste. merci d’apprécier amicalement mes imperfections – et, plus important pour vous – d’apprendre à aimer les vôtres. articles (rss) et commentaires (rss) villeneuve mothers | secrétaire à mon domicile | arezkievasion | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | solidarité handicap | le carnet du lait | barhama kaolack